Déjà très jeune, Sandra s’intéresse à la musique avant même de vouloir marcher. Ses premiers pas furent au piano, mais c’est le violon qui la charmera quelques années plus tard. Elle vogue entre
musique trad, concertos classiques et covers de cowboys fringants. Elle apprend à l’oreille et n’aime pas la théorie. Ce n’est que plus tard, lors de ladite crise existentielle des 26 ans,
qu’elle réalise que sa profession d’ergothérapeute la maintient loin de ses aspirations créatives.
Elle décide donc de prendre la musique au sérieux et quitte sa région natale du Lac-St-Jean vers Montréal. C’est au Cégep de St-Laurent qu’elle apprend le violon jazz et la composition pour
grands ensembles pendant 3 ans et quelques poussières de pandémie. À la fin de ses études, son père lui lèguera sa guitare : de là sont nées les premières chansons de son projet solo sous le
nom de Sandra Contour. Désormais, elle évolue au sein de différents projets artistiques en tant que violoniste, dont la formation folk-trad Margaret Tracteur.